J'ai vu passer le #creatorscreations2024 et j'étais pas plus inspirée que ça par les prompts, donc j'ai décidé de le détourner pour rendre hommage à une grande mangaka (à qui je dois mon nom d'auteures quand même) : Riyoko Ikeda (et c'est mieux de faire des hommages du vivant des auteurs quand on le peut).

De gauche à droite et de haut en bas : 

Claudine (du manga éponyme (pas encore sorti en France (l'un des premiers personnages manga ouvertement trans), Rei Asaka (du manga Très cher frère d'où sort aussi Mariko Shinobu), Julius von Ahlensmeyer (du manga Orpheus no Mado, je suis prête à tuer pour qu'il soit un jour traduit en français, j'avais collaboré aux scantrads depuis la version italienne à une époque, mais j'ai tout perdu et plus rien n'est dispo en ligne) et enfin la plus connue des quatre : Oscar François de Jarjayes (du manga Les Roses de Versailles, aka Lady Oscar sur le petit écran).

(Oui ce sont quatre femmes blondes habillées avec des vêtements masculins (en faisant ma colo j'ai d'ailleurs fait exprès de faire des variations dans la couleur de leurs cheveux pour les différencier davantage que dans les mangas originaux),mais aucune n'a la même histoire ni les mêmes raisons pour cela, mais si vous voulez que je développe dites-moi ça en commentaires).

Mai

Dédicace au Salon Books & Bulles de Roquemaure (Gard) le 4 mai 2024.

Atelier Moi, personnage de BD à la Comédie du Livre de Montpellier, stand Médiathèque départementale (Hérault) le 19 mai 2024 à 10h et 14h.

Juin

Dédicace au Festival Vidau'bulles de Vidauban (Var) les 1er et 2 juin 2024.

Dédicace au Rendez-Vous Boogaloo de Clarensac (Gard) le 23 juin 2024.

Juillet

Atelier Moi, personnage de BD sur la Paillote Lire à la Mer de Palavas (Hérault) le 30 juillet 2024 à 14h.

Atelier Moi, personnage de BD sur la Paillote Lire à la Mer de Frontignan (Hérault) le 31 juillet 2024 à 14h.

 Aujourd'hui, Alucard a cinq ans, l'occasion pour moi de refaire une petite bd sur lui :

C'est tellement rassurant de savoir qu'au boulot ya quelqu'un de suffisamment dérangé dans sa masculinité toxique (et couard) pour se défouler sur un pauvre bout de papier qui veut libérer la parole sur le fléau du sexisme au travail (oui parce que l'affiche a déjà dû être remplacée quatre fois et plastifiée, ce qui n'a pas empêché qu'il y revienne).

Mais à part ça, le sexisme, ça n'existe plus ma brave dame, vous ne craignez rien voyons !